Ilne faut pas céder à la psychose, à la peur et à la paranoïa, pour la simple raison que ces trois éléments fragilisent le système immunitaire. Alors que le coronavirus, comme bien d’autres maladies, s’attaquent au système immunitaire », a déclaré le préfet. Quiconque se nourrit de rumeurs, de peur, d’inquiétudes, interpelle-t-il, se fragilise. Il faut donc préserver ses
De leur côté, les observateurs de l'Union européenne ont prévenu que le retard mis à annoncer les résultats du scrutin de dimanche risquait de faire naître des suspicions. "Il semble qu'une sorte de psychose s'est emparée de la population. Le Plateau NDLR le quartier des affaires du centre d'Abidjan est désert. Les véhicules ont arrêté de circuler", a dit-il déclaré à la télévision publique. "Nous devons tous garder notre calme et notre sérénité pour attendre les résultats", a-t-il ajouté dans une déclaration diffusée en boucle à la télévision. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Les rues de la capitale économique étaient calmes à l'heure de pointe, nombre d'Abidjanais étant rentrés chez eux plus tôt que prévu. Les exportateurs de cacao, dont la Côte d'Ivoire est le premier producteur mondial, ont suspendu leurs opérations à Abidjan ainsi qu'au port de San Pédro, vers la frontière libérienne, dans l'attente des résultats, redoutant de possibles actes de violence et de pillage en cas de contestation. La Commission électorale indépendante, qui dispose d'un délai maximum de trois jours maximum pour publier les résultats du scrutin de dimanche, est depuis lundi sous bonne garde des casques bleus de l'Onuci et de l'armée ivoirienne. La CEI comptait communiquer dans la journée des résultats partiels de l'élection, alors même que certains se posent des questions quant à la transparence du dépouillement. LE CHEF DE L'ONUCI VOIT LES CANDIDATSLes observateurs de l'UE ont fait savoir qu'ils n'avaient pas constaté de fraude lors du déroulement de la présidentielle. Ils toutefois déploré que certains problèmes de logistique et de procédure retardent l'annonce des résultats, ce qui risque d'éveiller des soupçons de trucage. Une partie des bulletins de vote était toujours, mardi, en cours de transfert vers Abidjan. Cette opération revient aux casques bleus de l'Onu, également chargés de vérifier que le dépouillement s'est bien déroulé. La population a massivement participé à cette élection présidentielle, la première en dix ans et dont la tenue, initialement prévue en 2005, avait été maintes fois retardée. Les observateurs ont indiqué qu'ils pressaient la CEI de faire preuve de transparence et de rendre publics les résultats dès qu'elle les aura à sa disposition. Le représentant spécial du secrétaire général des Nations unies pour la Côte d'Ivoire, Young-Jin Choi, a rencontré le président sortant Laurent Gbagbo, candidat à sa réélection, et ses deux principaux adversaires, l'ancien président Henri Konan Bédié et l'ex-Premier ministre Alassane Ouattara, pour les convaincre les uns et les autres d'accepter le verdict des urnes. Il s'est dit certain que la Commission électorale rendrait prochainement son verdict. "Je n'ai aucun doute là -dessus. Il y a des retards ici et là . Les raisons à cela sont purement techniques et n'ont rien de politique", a dit Choi, chef de l'Onuci Opération des Nations unies pour la Côte d'Ivoire. Aucun des candidats n'a pour l'instant clamé victoire. Les analystes doutent qu'un candidat l'emporte dès ce premier tour et s'attendent plutôt à ce qu'un second tour, a priori le 28 novembre, soit nécessaire pour départager les deux prétendants arrivés en tête. Eric Faye et Jean-Loup Fiévet pour le service français Les plus lus OpinionsLa chronique de Marion Van RenterghemPar Marion Van RenterghemLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles PialouxLa chronique de Pierre AssoulinePierre Assouline
Piqûresen soirée à Bruxelles: «Il ne faut évidemment pas céder à la panique mais il faut des réponses concrètes»
S'il ne cache pas son inquiétude, Noël Le Graët appelle les acteurs du football à garder leur calme, en attendant une résolution du conflit entre Mediapro et la Ligue de football professionnel LFP. Dans un entretien au Parisien, le président de la FFF souligne tout de même les incidence d'un non paiement des droits TV sur le football sanitaire, huis clos, crise économique... comme tous les secteurs de la société, le football est fortement touché en ces temps de pandémie de coronavirus. D'autant que le conflit entre Mediapro et la Ligue de football professionnel LFP au sujet du versement des droits TV complique encore la situation. "Tout cela m'inquiète… Surtout que dans la somme globale promise par Mediapro, une partie doit revenir à la Fédération et donc à nos clubs amateurs, souligne Noël Le Graët dans Le Parisien. Si Mediapro ne paye pas ou si Canal + récupère les droits et paie moins, tout le monde sera en difficultés.""Quand tout redémarrera, les gens reviendront au stade et ça repartira""Mais il n'est pas encore l'heure de céder à la panique, poursuit le président de la Fédération française de football. On a encore un peu de temps devant nous. Mediapro n'a pas encore déposé le bilan ou déclaré qu'il arrêterait définitivement de payer. En tant que président de la Fédération, je demande donc à tout le monde de se calmer et d'attendre la fin du match."Jean-Pierre Caillot et les clubs professionnels réclament des aides supplémentaires pour surmonter la crise. "C'est vrai que les inquiétudes sont légitimes. Les clubs ont pris des engagements, ce qui était naturel car des ressources devaient arriver. Il faut pouvoir passer ce mauvais moment tous ensemble. Mais je vais peut-être en choquer certains en disant ça le foot français rebondira plus facilement que toutes ces PME en grosses difficultés. Quand tout redémarrera, les gens reviendront au stade et ça repartira", assure Noël Le Graët. Reste à savoir quand.
Onle sait, on le savait, ça se confirme, ça devient tendu, mais ne cédons pas à la panique. Il faut garder cette idée de vouloir jouer, de vouloir poser le
Joueuse du club hongrois de Dunaújvaros, Géraldine Mahieu, 26 ans, a fait le choix de rester en Hongrie avec une partie de son équipe pour continuer de s’entraîner dans des conditions à peu près normales. Si le pays d’Europe de l’Est échappe, pour l’instant, à un confinement général comme c’est le cas en France, l’ambiance n’en demeure pas moins étouffante à l’heure où l’épidémie de COVID-19 continue de s’étendre à travers le monde. Où es-tu confinée ? Le championnat de water-polo hongrois s’est arrêté le samedi 14 mars. Dans la foulée, j’ai pris la décision de rester en Hongrie, où les restrictions sont moins importantes qu’en France. Pour l’heure, on ne parle pas encore de confinement général, plutôt d’isolement, mais la situation est tout de même tendue. On sent que les gens prennent leurs précautions, qu’ils ne se mélangent pas et que la vie s’est un peu arrêtée. As-tu gardé le contact avec tes proches ? Oui, évidemment ! Ma sœur Pauline est, elle aussi, en pleine préparation olympique. On parle beaucoup de ce qu’on fait à la maison pour rester focus sur notre objectif et se maintenir en bonne condition physique. Il faut quand même une sacrée détermination pour s’entraîner tous les jours dans ce genre d’ambiance. KMSP/Stéphane Kempinaire De quelle manière as-tu accueilli le report des Jeux olympiques de Tokyo en 2021 ? Pour moi, c’est une décision juste ! Ça n’arrange personne, évidemment, mais c’était à n’en pas douter la meilleure chose à faire. Dans certains pays, comme en France, par exemple, les piscines sont fermées. Je ne vois pas comment les nageurs, poloïstes, plongeurs et synchros auraient pu, dans ces conditions, se préparer pour les Jeux olympiques alors que dans d’autres pays, comme aux Etats-Unis ou en Australie, les groupes d’entraînement continuent de travailler presque normalement. Le principe même d’équité propre à l’esprit olympique était sérieusement remis en question. C’est tout de même un sacré bouleversement. Il est clair qu’ajouter une année de préparation pour un événement tel que les Jeux, ce n’est pas anodin. Il y aura un impact tant physiquement que moralement, mais tout le monde va repartir sur un pied d’égalité. L’essentiel est préservé selon moi. KMSP/Stéphane Kempinaire Et qu’en est-il plus spécifiquement du TQO que tu devais disputer avec l’équipe de France de water-polo début mars, puis déplacé du 17 au 24 mai, toujours en Italie Trieste, où, on le sait, l’épidémie de COVID-19 continue de faire des ravages ? Vient un moment où il faut arrêter d’être égoïste et ne penser qu’à sa pratique et à ses objectifs pour se préoccuper du bien-être universel. Aujourd’hui, le plus important, c’est de sauver des vies et de préserver les populations. C’est ça aussi l’esprit olympique, penser aux autres, aux épreuves qu’ils traversent et tenter d’aménager les choses en conséquence pour que tout le monde s’y retrouve. C’est difficile pour tous les sportifs de haut niveau, mais c’est aussi l’occasion de se rappeler de nos valeurs communes, celles qui nous habitent tous. En ce qui concerne la situation de l’équipe de France féminine de water-polo, je n’ai pour l’instant aucune information sur le TQO. Je suis l’évolution de la situation en essayant de positiver… De quelle manière ? Je me dis qu’il nous reste du temps pour travailler. J’ai confiance dans mes coéquipières, je sais que nous mettrons tout en œuvre pour répondre présent le jour J, que de soit fin mai ou plus tard, en fonction des décisions qui seront prises. KMSP/Stéphane Kempinaire Es-tu en contact avec tes coéquipières ? Oui, bien sûr ! Au-delà du sport, nous sommes également amies. On se donne régulièrement des nouvelles car cette période de confinement est difficile à vivre pour tout le monde. Pour le moment, j’ai le sentiment que toutes les filles digèrent l’annonce du report des Jeux. Chacun l’assimile et ça va encore prendre un peu de temps… Ce n’est donc pas simple à accepter. Dans le contexte actuel, c’est ce qu’il fallait faire, j’en suis convaincue, mais peut-être que d’ici quelques jours ou quelques semaines, les choses évolueront et nous serons moins convaincues par cette décision. Je le répète, cela va prendre du temps car au-delà des questions de planning, il y a aussi tous les sacrifices que les joueuses et, de manière générale, tous les athlètes de haut niveau font au quotidienPréparer les Jeux, c’est un investissement total. On ne peut pas faire les choses à moitié. Par conséquent, il est normal que cette décision interpelle. On l’accepte, bien évidemment, parce qu’il s’agit de santé publique, mais il y a forcément des questions. Il faut que chacun se réadapte et revoie ses projets, tant sportifs que personnels. Plus concrètement, comment s’organisent tes journées en Hongrie ? Avec une partie de l’équipe, nous sommes parties au Balaton le lac Balaton est un lac d'eau douce de l'ouest de la Hongrie, ndlr pour travailler et ne pas perdre le foncier accumulé tout au long de l’année. On fait beaucoup de vélo, du kayak, de la musculation et des exercices de souplesse pour ne pas trop souffrir lorsqu’il faudra relancer la machine sourire... Le championnat est suspendu et non annulé. Il devrait reprendre l’année prochaine, enfin normalement, et s’achever probablement en début d’année prochaine. Mais bon, tout cela reste très flou pour le moment. KMSP/Stéphane Kempinaire On te sent impliquée, consciente des changements à venir et de la nécessité de s’adapter, mais es-tu également inquiète ou préoccupée par l’épidémie de COVID-19 qui se propage à toute vitesse sur l’ensemble de la planète ? Je suis forcément inquiète pour mes proches. Je les appelle régulièrement pour savoir comment ils se portent. J’ai également fait des études dans le milieu médical alors j’ai beaucoup d’amies qui se retrouvent en première ligne. Ça me préoccupe aussi, d’autant que je me sens protégée en Hongrie. Je ne suis pas au cœur de la bataille. J’essaie surtout de ne pas céder à la panique quand je la sens monter car, à mon échelle, je ne peux rien faire, si ce n’est ne pas contaminer les gens qui m’entourent. Quand as-tu prévu de revenir en France ? C’est la grande question ! Pour le moment, je ne peux pas voyager. Pas question de déranger l’ambassade avec mon cas personnel. Mais j’aimerais bien revoir ma famille, surtout pendant cette période. Je ressens le besoin d’être avec eux, mais pas question de prendre des risques. Pour l’instant, je prends mon mal en patience. Je m’entraîne et je fais en sorte de rester positive. Recueilli par Adrien Cadot
COVID19: ne pas céder à la panique. Les Affaires Édition du 15 Avril 2020 par Dany Provost . À VOS AFFAIRES. Garder la tête froide est toujours recommandé, mais en période de crise, c'est plus important que jamais. Le stress supplémentaire dans un temps de crise peut provoquer des émotions qui doivent être contrôlées sous peine de prendre de mauvaises
Les atrocités vécues à Paris dans différents lieux de la capitale, vendredi 13 novembre, laissent un pays choqué par les attaques revendiquées sans surprise par le groupe État islamique. Les meurtres de plus d’une centaine de victimes ont été principalement commis dans des arrondissements de la capitale souvent fréquentés pour leurs activités nocturnes – qu’elles soient plutôt calmes ou festives. Pour les désigner, le terme de rues blanches » commence d’ailleurs à émerger. Loin de toutes perspectives racistes, il définit ces rues où les terrasses de café, les restaurants se remplissent majoritairement de français ou de touristes curieux et désireux de découvrir la vie de l’hexagone, de discuter comme sur une page blanche, d’échanger des pensées libres, toujours à la découverte d’idées progressistes. Les valeurs énoncées de liberté, égalité et fraternité » s’y égrènent çà et là selon les conversations, les niveaux intellectuels, les mélanges de cultures et les lieux d’ouvertures culturelles et de divertissements. Le Bataclan, célèbre salle de spectacle, se trouve justement dans une de ces rues blanches ; mais en ce soir du vendredi 13 novembre, ses clients, amateurs de musique ont vécu un acte de guerre », comme le précise le Président de la République française lors de son allocution télévisée du lendemain matin. Ceux-là mêmes qui venaient assister au concert du groupe californien Eagles of Death Metal ont été parfois massacrés sous les balles froides et déterminées de jeunes extrémistes. Les survivants, toujours choqués, pleurent les corps sans vie de leurs proches plusieurs heures encore après le drame, comme l’ensemble de la population française qui, dans un sentiment d’impuissance, tente de rester forte, unie et de garder la tête froide pour ne pas céder à la menace. L’affiche du concert de Eagles of Death Metal. DR Au-delà de ces victimes, ce massacre touche l’humanité et à travers elle, la culture. La violence des attaques-fusillades simultanées par des jeunes hommes aux visages non masqués prouve qu’ils voulaient défier une capitale de renommée culturelle internationale et se sentaient investis d’une mission. Pour certains d’entre eux, il est possible que le fait de tuer les clients du Bataclan soit aussi un acte d’adoration binaire où tout est bon ou mauvais. Ainsi la musique est, pour certains musulmans intégristes, haram », autrement dite interdite. Il serait illicite, pour eux, d’écouter et/ou d’assister à des concerts. C’est ce que montre une vidéo de l’imam de la mosquée sunna de Brest, Rachid Houdeyfa, qui devant une vingtaine d’enfants, insiste sur le fait que la musique est pour le diable chaïtan » et les menace d’ être engloutis par la terre » ou changés en porc ou en singe » s’ils pratiquent ou écoutent de la musique. L’amour du spectacle et de la musique Quid des cours de musique obligatoires et des sorties musicales proposées par les écoles françaises et des relations à venir avec les enfants recevant un double discours ? Quid de la pratique des instruments de musique, des traditions et des savoir-faire musicaux, tant dans la fabrication des instruments, dans les techniques de chant que dans la pratique instrumentale ? Il est un fait certains musulmans radicaux et les terroristes refusent la musique et pensent que ceux qui l’écoutent doivent recevoir un châtiment. Dans cet axe de pensée donc, pas loin d’un millier d’hommes et de femmes sont devenus otages et ont vécu l’horreur de bras armés de fusils d’assaut des terroristes pour l’amour du spectacle et de la musique. Un tel discours ne peut qu’alerter sur la liberté d’expression artistique et inciter à rappeler que la création artistique est libre d’être et d’exister dans la paix et pour la paix. Le refus de céder à la panique et de ne pas se soumettre à la terreur peut permettre à ce jour de clamer haut et fort que la lumière de l’esprit peut être apportée par la culture. Que la musique est un art qui doit adoucir les mœurs, qu’elle est un acte de création et que de simples notes de musique deviennent, aujourd’hui, un hommage aux victimes et un symbole celui de la liberté.
Netremblez pas et ne cédez pas à la panique devant vos ennemis ! Car l'Éternel votre Dieu marche lui-même avec vous il vous sauvera !". Le manque de courage, la peur sont des facteurs paralysants. Ils nous empêchent de nous
Un raisonnement imparable le mouvement de baisse actuel semble lié donc aux anticipations négatives des investisseurs quant à l'éventuel impact global que pourrait générer une crise du secteur immobilier sur le reste de l'économie».De fait, renchérit-on, cette décrue ne pourrait en aucun cas être une conséquence directe de la faillite de certaines banques internationales en relation avec la crise des subprimes; le système financier marocain banques, assurances et Bourse n'étant pas exposé à ce genre de risque. Des explications, somme toute, qui sont étayées par le dernier rapport du FMI 16 septembre Ndlr. Pour l'institution financière internationale, en effet, les répercussions purement financières des turbulences mondiales du crédit ont été très limitées, car la dette extérieure du Maroc est peu élevée et à échéance longue, et parce que les politiques macroéconomiques ont été renforcées. Jusqu'à présent, précise le FMI, le Royaume n'a guère été affecté par les effets de ces turbulences financières mondiales. Les indicateurs du marché financier n'ont fait apparaître aucun signe visible de dégradation de la perception du risque au Maroc par rapport à d'autres marchés émergents. Les réserves officielles brutes couvrent % de la dette extérieure à court terme, ce qui témoigne, en partie, de la gestion prudente de la dette et des flux continus d'IDE et d'envois de fonds des MRE. Globalement, le secteur financier est solide et résistant aux chocs. Les provisions des banques sont généralement suffisantes et ces dernières sont peu exposées aux risques extérieurs, que ce soit du côté de l'actif ou du passif, ce qui réduit considérablement la transmission des risques des marchés financiers mondiaux à l'économie réelle. De plus, les autorités continuent d'améliorer la supervision afin de suivre les risques de plus près à mesure que l'économie s'ouvre, tout en surveillant de près la récente expansion vigoureuse du crédit. Celui-ci a crû de 60 % d'avril 2006 à avril 2008, et les taux de défaillance pourraient augmenter dans les années qui viennent. Cependant, un certain phénomène de rattrapage est à l'oeuvre, compte tenu de l'approfondissement de l'intermédiation financière. De plus, la croissance du crédit est généralisée, et concerne notamment le crédit d'investissement à long terme, ce qui pourrait stimuler la croissance potentielle. La dernière enquête de BAM sur les conditions d'octroi du crédit indique que celles-ci sont devenues plus rigoureuses pour les grandes sociétés, en partie pour freiner les risques de concentration. Ceci dit, BMCE Capital va loin en expliquant que si le spectre d'un marasme du secteur immobilier est bien réel, ses répercussions ne devraient pas être aussi importantes qu'imaginées». En cas de retournement du marché, les prix de vente devraient être revus à la baisse sans pour autant impacter les Business Plans initialement établis construits sur des bases conservatrices par les sociétés immobilières cotées, du moins pour les deux années à venir. Sur le plan macro-économique, il faut rappeler que la dynamique du secteur BTP provient également des efforts de l'Etat en matière d'infrastructures autoroutes, aéroports, ports, etc.. Les travaux publics pourraient compenser tout éventuel ralentissement de l' et au volet fondamental, la Bourse présente des niveaux de valorisation corrects pour une place émergente en phase de analystes de BMCE Capital Bourse préconisent, en conséquence, de ne pas céder à la panique et de procéder plutôt à des arbitrages en privilégiant une véritable stratégie de stock picking aussi bien à la vente qu'à l'achat. Rappelant que les quatre années de crise que le marché boursier marocain a vécues entre septembre 1998 et juin 2002 ont été riches en enseignements pour l'ensemble des intervenants de la Place, ces mêmes anlaystes estiment qu'un des éléments-clés ayant concouru à la précipitation de la baisse de l'indice de référence de l'époque fut incontestablement la surabondance des liquidités face à une étroitesse patente de l'offre, notamment celle de nouveaux papiers. Flash Back la reprise entamée à partir de juillet 2002, et qui a perduré jusqu'à la mi-mars 2008, a largement profité d'un retour du climat de confiance née de la persistance de la liquidité sur le marché ainsi que de la cotation d'une trentaine de titres dont une part importante était de mouvement haussier, qui s'est au départ nourri de la profondeur apportée par l'introduction en Bourse de Maroc Telecom, s'est accéléré par l'arrivée des valeurs immobilières. Les niveaux de valorisation élevés de ces dernières n'ont pas inquiété au départ car elles étaient considérées comme des valeurs de croissance dont le potentiel devrait se manifester à moyen terme. Les perspectives de croissance bénéficiaire globale des sociétés cotées ont également soutenu l'orientation favorable du marché +22% en 2004, +26% en 2005, +17% en 2006 et +31% en 2007, bien que pour certaines valeurs, le trend emprunté de leur cours semble avoir été en déconnexion avec leurs le marché s'est bien comporté en début d'année affichant un pic de performance à +17,6%, le 13 mars 2008, il est rapidement entré dans une phase de consolidation à la baisse qui a duré pratiquement six mois. La publication de bonnes réalisations en 2007 par les sociétés cotées semble avoir été insuffisante pour maintenir le trend haussier observé depuis la même, le rythme des introductions en Bourse, sensées dynamiser la Place et niveler par le bas ses niveaux de valorisation, a baissé puisque, sur les neuf premiers mois de l'année, seules cinq valeurs ont accédé à la cote. La période de stagnation de la Place s'est accompagnée à sa fin par une insuffisance de profondeur reflétée par des volumes de plus en plus faibles, un manque de visibilité de la part des opérateurs du marché et un vraisemblable début de désengagement des investisseurs étrangers. Pour BMCE Capital Bourse, ce sont précisément les signes précurseurs d'un essoufflement du marché, exacerbés par les prémices d'un ralentissement annoncé pour le secteur du bâtiment. Dans ces conditions, les investisseurs ont fini par céder à l'incertitude en se positionnant à la vente sur pratiquement toutes les valeurs, occasionnant un trend baissier de forte amplitude -13,2% sur les neuf dernières séances et faisant basculer les performances annuelles des indicateurs de référence au rouge pour la première fois depuis fin Maroc a fait des progrès substantiels sur le front de la réforme du secteur financier; le secteur est sain et la supervision adéquate. Le secteur financier fait preuve d'une bonne résistance aux chocs et les turbulences actuelles des marchés internationaux de crédit ne l'ont guère affecté. Il convient de poursuivre les efforts de renforcement de la supervision bancaire, notamment de réduire les risques de concentration et de consolider les capacités de gestion du risque des institutions marocaines pour les préparer à une économie et un système financier plus ouverts. L'essor rapide du crédit doit continuer à faire l'objet d'une grande vigilance, surtout dans le secteur de l'immobilier. Bien que l'évolution récente du crédit puisse refléter un rattrapage de bon augure, un certain relâchement des conditions de crédit s'est fait jour par ailleurs, s'agissant notamment du crédit immobilier. Pour le FMI, la réponse des autorités a été globalement adéquate et une vigilance constante est justifiée. Il convient de saluer l'intention des autorités de relever le ratio minimum de fonds propres à 12% avant la fin 2009, ce qui est conforme aux meilleures pratiques des pays émergents.
Nepas céder à la panique , conserver vos titre et acheter des actions umicore. Je ne comprends pas votre avis et la position sur Umicore venant de jefferies qui est est passe de 33 € à 25 €, nous sommes dans une situation de relance économique tant sur le plan macro et micro, les conditions sont idéales, on peut remarquer qu'il y a des attentes particulières dans le domaine des
La semaine dernière, La France a connu un terrible attentat. Comme le président de la république l’a rappelé Il faut rester vigilant » mais ce n’est pas pour autant qu’il faut céder à la panique. Restez prudent ne veut pas dire se méfier de tout et surtout de tout le monde. Face à de tels événements il faut rester uni et soudé alors voici quelques conseils pour vous aider à ne pas tomber dans la psychose. ________________________________________________________________________________________ 1 – Parler, communiquer Toute la semaine dernière, nous avons vécu une succession d’évènements violents. La France entière était en deuil. Toutes nos émotions étaient suscitées, aussi bien la colère que la tristesse et chez certains l’anxiété et la peur aussi. D’ailleurs dans le mot terrorisme » on peut retrouver le mot terroriser » donc l’idée d’effrayer. C’est le but premier des personnes qui font de tels actes. Un des meilleurs moyens pour ne pas céder à la panique est de parler, de mettre des mots sur nos émotions. Il ne faut pas s’enfermer avec sa peine. Parler de ces évènements, permet notamment d’évacuer le stress et très souvent de se raisonner. 2 – Le rassemblement Voir du monde, discuter, se changer les idées, sortir ou bien se rassembler comme lors des manifestations peut être un moyen de garder une place active dans le drame tout en extériorisant. Dire haut et fort ce que l’on pense en étant entouré peut servir à ne pas devenir esclave de la peur. 3 – Ne pas changer Les auteurs de ces actes sont les seuls responsables. Il ne faut pas changer ses habitudes, se méfier des autres. Certains d’entre nous vont commencer à ne plus prendre les transports en commun durant quelques jours, vont éviter les lieux publics… Ce qui ne sert à rien à part augmenter votre angoisse. Ce type d’évènement n’a pas de schéma précis, donc on ne sait pas quand et où cela peut se reproduire. Continuer de vivre normalement, est une des meilleures choses à faire. 4 – Rester objectif Lorsque nous sommes face à un attentat, l’émotion et l’empathie sont extrêmement fortes et très souvent, cela empêche l’objectivité. Pourtant, il est essentiel de rationaliser les choses. Ce type d’évènement est rare. Il ne faut pas céder à la psychose. Si lorsque vous êtes dans un lieu public, vous sentez la peur vous envahir, recentrez-vous ! Essayez de fermer les yeux et de prendre une respiration profonde. Cela vous aidera à apaiser votre anxiété. 5 – Se ressourcer Prendre du temps pour soi est essentiel après de tels évènements. Essayez de vous accorder une petite heure de lecture ou bien écoutez la musique, faites-vous masser … ressourcez-vous, changez-vous les idées. Il faut garder le contrôle de votre, ne laissez pas la peur vous envahir. N’hésitez pas à couper la télé ou la radio, débranchez-vous des réseaux sociaux, retrouvez-vous avec vous-même. Il faut relâcher la pression et prendre du recul. Pensez malgré tout à vous tenir au courant de ce qu’il se passe car sans information, les rumeurs apparaissent et l’angoisse grandi et dans le même temps, passer sa journée devant les informations entretient le stress. Source L’express …
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le garder c est ne pas céder à la panique