Ona compris qu'il y avait le feu et que des gens Ă©taient en danger. C'Ă©tait sĂ©rieux. On y est allĂ© sans rĂ©flĂ©chir. " Un courage hĂ©roĂŻque qui a Le verbe rĂ©flĂ©chir est du deuxiĂšme verbe rĂ©flĂ©chir se conjugue avec l'auxiliaire avoirTraduction anglaise to think rĂ©flĂ©chir au fĂ©minin rĂ©flĂ©chir Ă  la voix active se rĂ©flĂ©chir rĂ©flĂ©chir ? ne pas rĂ©flĂ©chir Imprimer Exporter vers WordPrĂ©sentje suis rĂ©flĂ©chitu es rĂ©flĂ©chiil est rĂ©flĂ©chinous sommes rĂ©flĂ©chisvous ĂȘtes rĂ©flĂ©chisils sont rĂ©flĂ©chisPassĂ© composĂ©j'ai Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chitu as Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chiil a Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chinous avons Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisvous avez Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisils ont Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisImparfaitj'Ă©tais rĂ©flĂ©chitu Ă©tais rĂ©flĂ©chiil Ă©tait rĂ©flĂ©chinous Ă©tions rĂ©flĂ©chisvous Ă©tiez rĂ©flĂ©chisils Ă©taient rĂ©flĂ©chisPlus-que-parfaitj'avais Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chitu avais Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chiil avait Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chinous avions Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisvous aviez Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisils avaient Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisPassĂ© simpleje fus rĂ©flĂ©chitu fus rĂ©flĂ©chiil fut rĂ©flĂ©chinous fĂ»mes rĂ©flĂ©chisvous fĂ»tes rĂ©flĂ©chisils furent rĂ©flĂ©chisPassĂ© antĂ©rieurj'eus Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chitu eus Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chiil eut Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chinous eĂ»mes Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisvous eĂ»tes Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisils eurent Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisFutur simpleje serai rĂ©flĂ©chitu seras rĂ©flĂ©chiil sera rĂ©flĂ©chinous serons rĂ©flĂ©chisvous serez rĂ©flĂ©chisils seront rĂ©flĂ©chisFutur antĂ©rieurj'aurai Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chitu auras Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chiil aura Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chinous aurons Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisvous aurez Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisils auront Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisPrĂ©sentque je sois rĂ©flĂ©chique tu sois rĂ©flĂ©chiqu'il soit rĂ©flĂ©chique nous soyons rĂ©flĂ©chisque vous soyez rĂ©flĂ©chisqu'ils soient rĂ©flĂ©chisPassĂ©que j'aie Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chique tu aies Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chiqu'il ait Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chique nous ayons Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisque vous ayez Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisqu'ils aient Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisImparfaitque je fusse rĂ©flĂ©chique tu fusses rĂ©flĂ©chiqu'il fĂ»t rĂ©flĂ©chique nous fussions rĂ©flĂ©chisque vous fussiez rĂ©flĂ©chisqu'ils fussent rĂ©flĂ©chisPlus-que-parfaitque j'eusse Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chique tu eusses Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chiqu'il eĂ»t Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chique nous eussions Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisque vous eussiez Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisqu'ils eussent Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisPrĂ©sentje serais rĂ©flĂ©chitu serais rĂ©flĂ©chiil serait rĂ©flĂ©chinous serions rĂ©flĂ©chisvous seriez rĂ©flĂ©chisils seraient rĂ©flĂ©chisPassĂ© premiĂšre formej'aurais Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chitu aurais Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chiil aurait Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chinous aurions Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisvous auriez Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisils auraient Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisPassĂ© deuxiĂšme formej'eusse Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chitu eusses Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chiil eĂ»t Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chinous eussions Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisvous eussiez Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisils eussent Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisPrĂ©sentsois rĂ©flĂ©chisoyons rĂ©flĂ©chisoyez rĂ©flĂ©chiParticipePassĂ©rĂ©flĂ©chirĂ©flĂ©chierĂ©flĂ©chisrĂ©flĂ©chiesayant Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chiInfinitifGĂ©rondifPassĂ©en ayant Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chiRĂšgle du verbe rĂ©flĂ©chirVoici la forme gĂ©nĂ©rale de conjugaison des verbes en -ir formant leur participe prĂ©sent en -issant. La seule exception est du verbe rĂ©flĂ©chircogiter - penser - gamberger - combiner - manigancer - mijoter - prĂ©parer - mĂ©diter - songer - rĂȘver - spĂ©culer - Ă©chafauder - approfondir - Ă©voquer - prĂ©voir - reflĂ©ter - reproduire - rĂ©percuter - renvoyer - rĂ©pĂ©ter - transmettre - rĂ©verbĂ©rerDĂ©finition du verbe rĂ©flĂ©chir1 Penser longuement Ă  quelque chose2 Renvoyer des rayons lumineux ou autres qui ont Ă©tĂ© reçus ex le miroir rĂ©flĂ©chit la lumiĂšre du soleilEmploi du verbe rĂ©flĂ©chirFrĂ©quent - Intransitif - Transitif - Autorise la forme pronominale Tournure de phrase avec le verbe rĂ©flĂ©chirVerbes Ă  conjugaison similaireaboutir - accomplir - agir - agrandir - applaudir - approfondir - atterrir - avertir - bĂątir - bondir - choisir - compatir - convertir - dĂ©finir - Ă©claircir - Ă©largir - enrichir - envahir - Ă©tablir - finir - fournir - franchir - garantir - grandir - grossir - investir - rĂ©flĂ©chir - remplir - rĂ©unir - rĂ©ussir - saisir - subir Parexemple, tu sais que ces paroles contiennent des motivations, qu’elles sont entachĂ©es, que ce sont des mensonges : tu en es conscient pendant que tu parles, n’est-ce pas ? Si c’est le cas, commence par rester silencieux, prie Dieu dans ton cƓur et rĂ©flĂ©chis. Expose le problĂšme devant Dieu pour l’inclure dans tes priĂšres et mets-le Ă  nu : mets d’abord cela en TLFi AcadĂ©mie9e Ă©dition AcadĂ©mie8e Ă©dition AcadĂ©mie4e Ă©dition BDLPFrancophonie BHVFattestations DMF1330 - 1500 RÉFLÉCHI, -IE, part. passĂ© et − Part. passĂ© de rĂ©flĂ©chir*. II. − AdjectifA. Qui provient d'une rĂ©flexion. LumiĂšre, onde rĂ©flĂ©chie; radiations rĂ©flĂ©chies, rayon rĂ©flĂ©chi. Quatre petits cierges fluets ... jetaient une lueur pĂąle et mal rĂ©flĂ©chie par le mur Balzac, Épis. Terr., 1830, p. 439.Elle ... se regarda dans la glace pour arranger ses cheveux et, me voyant derriĂšre elle, les yeux fixĂ©s sur son image rĂ©flĂ©chie, elle me sourit Ă  moi aussi Mauriac, Climats, 1928, p. 115.− En partic. Qui est recourbĂ©, repliĂ© sur lui-mĂȘme. Limbe rĂ©flĂ©chi. Sur la gouttiĂšre sus-cotyloĂŻdienne, s'insĂšre le tendon rĂ©flĂ©chi du muscle droit antĂ©rieur de la cuisse G. GĂ©rard, Anat. hum., 1912, p. 162.− Au fig. ou p. mĂ©taph. Nous n'apercevons presque jamais la rĂ©alitĂ© des choses, mais leurs images rĂ©flĂ©chies faussement par nos dĂ©sirs Chateaubr., Essai RĂ©vol., t. 2, 1797, p. 411.Rem. On relĂšve un empl. considĂ©rĂ© par certains comme abusif en parlant de la chaleur. Synon. de rĂ©verbĂ©rĂ©. La chaleur rĂ©flĂ©chie du soleil Bern. de St-P., Harm. nat., 1814, p. 357.− GRAMMAIRE♩ Adjectif possessif rĂ©flĂ©chi. Adjectif possessif dĂ©terminant un substantif dĂ©signant une chose appartenant au sujet du verbe. Au pronom rĂ©flĂ©chi lat. se correspond dans certaines langues un adjectif possessif rĂ©flĂ©chi lat. suus Pronom rĂ©flĂ©chi. Pronom personnel reprĂ©sentant en fonction de complĂ©ment direct ou indirect la personne ou la chose qui est en mĂȘme temps sujet du verbe. Il y a une tendance Ă  supprimer le pronom rĂ©flĂ©chi dans les phrases je vais me promener, − me coucher, − me baigner, etc. Gourmont, EsthĂ©t. lang. fr., 1899, p. 160.♩ Verbe pronominal rĂ©flĂ©chi. Verbe qui se conjuge avec un pronom rĂ©flĂ©chi. Traditionnellement, on oppose aux verbes dits essentiellement pronominaux » les verbes pronominaux dits rĂ©flĂ©chis » et ceux qu'on appelle rĂ©ciproques », ces derniers ne se distinguant des rĂ©flĂ©chis que par le sens, ils Ă©voquent deux procĂšs analogues dont l'un s'opĂšre en retour de l'autre Wagner-Pinchon1962, p. 290.− Empl. subst. masc. Adjectif, pronom ou verbe pronominal rĂ©flĂ©chi v. ex. ci-dessus. Le rĂ©flĂ©chi est traditionnel dans la locution chacun pour soi Wagner-Pinchon1962, p. 290.B. − 1. [En parlant d'une chose] Qui porte la marque de la rĂ©flexion, qui dĂ©note la rĂ©flexion. Action, mouvement, pensĂ©e, regards, rĂ©ponse rĂ©flĂ©chies; Ă©tude bien rĂ©flĂ©chie; plan mĂ»rement rĂ©flĂ©chi. La douleur de la mort de Lambert fut de la douleur comme je l'ai Ă©prouvĂ©e tout le reste de ma vie, une douleur rĂ©flĂ©chie, sĂšche, sans larmes, sans consolation Stendhal, H. Brulard, t. 1, 1836, p. 169.La peur ... l'envahit complĂštement, submergea tout, non plus cette fois la peur rĂ©flĂ©chie, motivĂ©e, mais la peur obscure et mystĂ©rieuse qui fait ramper les bĂȘtes fĂ©roces et brise les genoux des hĂ©ros Montherl., DĂ©mon bien, 1937, p. 1304.V . mĂ©chancetĂ© ex. de Mirbeau.♩ En partic. [En parlant de propos, d'une maniĂšre de parler] Prudent, sans prĂ©cipitation. Paroles rĂ©flĂ©chies; voix rĂ©flĂ©chie. Elle parlait d'un ton lent, rĂ©flĂ©chi, regardant au-dedans d'elle-mĂȘme et, avec un souci d'extrĂȘme sincĂ©ritĂ©, avec scrupule, confessait ce qu'elle y dĂ©couvrait Mauriac, Fleuve de feu, 1923, p. 181.♩ PHILOS. Qui est capable de rĂ©flexion. Conscience rĂ©flexive et conscience rĂ©flĂ©chie v. conscience ex. de Ruyer et de J. Vuillemin... nous reconnaissons ... que tout s'explique mĂ©caniquement. Et ce serait trĂšs juste, s'il n'y avait que la pensĂ©e rĂ©flĂ©chie, pleinement consciente. Mais au-dessous d'elle est une pensĂ©e spontanĂ©e et semi-consciente, qui superpose Ă  l'enchaĂźnement mĂ©canique des causes et des effets quelque chose de tout diffĂ©rent... Bergson, Deux sources, 1932, p. 155.− Empl. subst. masc. sing. Ă  valeur de neutre. Le spontanĂ© et le rĂ©flĂ©chi, le nĂ©cessaire et l'arbitraire, tout ceci est fondĂ© dans l'expression extĂ©rieure, comme le cuivre et l'Ă©tain dans le bronze ValĂ©ry, VariĂ©tĂ© IV, 1938, p. 98.2. [En parlant d'une pers.] Qui a l'habitude de la rĂ©flexion, qui fait preuve de rĂ©flexion. Elle rĂ©pondait sans embarras, en fille rĂ©flĂ©chie, sensĂ©e, pas plus songeuse qu'il ne faut. Il la trouvait pleine de bon sens Maupass., Contes et nouv., t. 1, HĂ©rit., 1884, p. 479.C'est un homme froid, rĂ©flĂ©chi, qui sait trĂšs bien ce qu'il veut et trĂšs bien ce qu'il ne veut pas Duhamel, MaĂźtres, 1937, p. 131.♩ [P. mĂ©ton.] Esprit, caractĂšre rĂ©flĂ©chi. Un vieillard qui se promenait, les mains derriĂšre le dos ... et que l'on prendrait, Ă  sa tournure grave, Ă  son air rĂ©flĂ©chi, pour un magistrat parlementaire Jouy, Hermite, t. 1, 1811, p. 223.Yvette allait d'un air sage et rĂ©flĂ©chi, regardant le sable de l'allĂ©e Maupass., Contes et nouv., t. 2, Yvette, 1884, p. 527.− Empl. subst. Personne qui a l'habitude de la rĂ©flexion, qui fait preuve de rĂ©flexion. Aux yeux du sage, de l'impartial, du rĂ©flĂ©chi, du raisonnable, ma voix, aprĂšs tout, vaudra bien celle d'un autre Las Cases, MĂ©mor. Ste-HĂ©lĂšne, t. 2, 1823, p. 374.CarriĂšre est un rĂ©flĂ©chi, un intĂ©rieur, il ne voit que ce qui l'Ă©meut, il ne peut exprimer que ce qu'il sent SĂ©ailles, E. CarriĂšre, 1911, p. 68.Prononc. et Orth. [ʀefleʃi]. Ac. v. rĂ©flĂ©chir. FrĂ©q. abs. littĂ©r. 2 390. FrĂ©q. rel. littĂ©r. xixes. a 3 194, b 2 651; xxes. a 3 809, b 3 726. Bbg. Gohin 1903, pp. 302-303. − Sten H.. RĂ©flĂ©chi et ,,rĂ©flĂ©chi``. In [MĂ©l. GrĂ©visse M.]. Gembloux, 1966, pp. 323-325. 4 elle s'offre en 2000 son propre pc qu'elle agrĂ©mente en 2002 d'une "Connexion Ă  Internet" mais elle considĂšre que le Minitel est intĂ©ressant mais il renseigne des rĂ©sultats mĂ©diocres (dans le contenu et sur la forme) ; aujourd'hui c'est d'une tablette qu'elle se rĂ©jouit notamment pour son itinĂ©rance aisĂ©e de "hot spots en hot spots de connexion" ; Par Li Jin, Chine En 2014, quand j’étais une dirigeante d’Église, j’étais assez efficace dans mon devoir et j’avais de l’expĂ©rience, alors je croyais comprendre la vĂ©ritĂ©. Quand des problĂšmes surgissaient, j’agissais souvent arbitrairement, sans chercher les principes de la vĂ©ritĂ©. À un moment, on m’a signalĂ© que les dirigeants de deux Églises avaient une mauvaise humanitĂ©, qu’ils opprimaient et Ă©touffaient les autres. J’ai Ă©coutĂ© les rapports, je les ai crus et, sans examiner les faits, j’ai renvoyĂ© l’un des dirigeants, qui Ă©tait capable de travail concret, et j’ai failli expulser l’un des autres dirigeants par erreur, ce qui a gravement affectĂ© le travail des deux Églises. Mes supĂ©rieurs m’ont traitĂ©e sĂ©vĂšrement parce que je faisais mon devoir arbitrairement, n’agissais pas en accord avec les principes de la vĂ©ritĂ© et renvoyais des gens comme bon me semblait. Mais je me connaissais encore mal, je me suis dĂ©fendue et justifiĂ©e, et je me suis dit que tout le monde commettait des erreurs dans son devoir. Parce que je n’acceptais pas la vĂ©ritĂ©, que j’agissais souvent Ă  l’encontre des principes, de maniĂšre arbitraire, et que mon travail n’avait pas d’effet concret, mes supĂ©rieurs m’ont renvoyĂ©e. AprĂšs mon renvoi, au lieu d’arranger un autre devoir pour moi, ils m’ont dit de m’adonner Ă  une rĂ©flexion spirituelle chez moi. À ce moment-lĂ , je n’ai pas compris la volontĂ© de Dieu et j’ai Ă©tĂ© trĂšs nĂ©gative. Je me disais que je croyais en Dieu depuis des annĂ©es, que j’avais renoncĂ© Ă  mon mariage, quittĂ© mon emploi et qu’il m’arrivait souvent de travailler alors que j’étais malade. MĂȘme si je n’avais gagnĂ© aucun mĂ©rite, j’avais au moins travaillĂ© dur. Être renvoyĂ©e Ă©tait dĂ©jĂ  un coup dur, mais on m’annonçait en plus que je ne pouvais accomplir aucun devoir. Comme je n’avais commis que deux erreurs, je trouvais qu’il Ă©tait trop sĂ©vĂšre de me traiter de cette maniĂšre, surtout quand je voyais des gens qui n’étaient pas dirigeants ni ouvriers poursuivre leur devoir, alors que moi, qui avais Ă©tĂ© dirigeante, n’en avais plus. Je me disais Je ne peux pas ĂȘtre dirigeante, apparemment. Il y a des critĂšres Ă©levĂ©s et des exigences strictes pour ĂȘtre dirigeant. Il suffit d’ĂȘtre un peu nĂ©gligent pour que notre vie de foi en Dieu s’achĂšve. Comment peut-on avoir une fin et une destination si on ne peut mĂȘme pas ĂȘtre un exĂ©cutant ? Quoi qu’il arrive, je ne serai plus une dirigeante Ă  l’avenir. » AprĂšs ça, pendant des annĂ©es, j’ai fait du travail textuel dans l’Église. MĂȘme si j’ai eu des occasions de me prĂ©senter Ă  des Ă©lections de dirigeants ou d’ouvriers, j’ai toujours Ă©vitĂ© d’y prendre part. Je n’avais pas conscience de mon problĂšme, Ă  ce moment-lĂ . Je pensais qu’il Ă©tait sage de faire ça. En mai 2020, mes frĂšres et sƓurs m’ont encouragĂ©e Ă  me prĂ©senter Ă  une Ă©lection. J’ai Ă©tĂ© en proie Ă  un conflit intĂ©rieur. Mon travail me convenait et je n’avais pas envie de participer Ă  l’élection. Que je sois choisie comme dirigeante n’augurerait rien de bon. Je pensais qu’ĂȘtre dirigeant Ă©tait un travail difficile et ingrat. Il est obligatoire de bien le faire et, en cas d’erreur, les dirigeants sont toujours tenus responsables. On peut dire Ă  juste titre Tout le monde en tire les bĂ©nĂ©fices, mais une seule personne est blĂąmĂ©e. » Quand j’avais Ă©tĂ© dirigeante, prĂ©cĂ©demment, j’avais transgressĂ©. Si je servais de nouveau comme dirigeante et faisais quelque chose Ă  l’encontre des principes, causant un grand tort au travail de la maison de Dieu, au mieux, je serais renvoyĂ©e, au pire, je serais expulsĂ©e, ce qui me ferait perdre ma chance de salut. Voyant les choses comme ça, j’ai rĂ©pondu que mon problĂšme cardiaque s’était aggravĂ© et que je ne pouvais pas participer Ă  l’élection. Je me suis sentie un peu coupable, sur le coup. N’évitais-je pas l’élection ? Mais je pensais que je n’étais vraiment pas Ă  la hauteur d’un poste de dirigeante et mon cƓur me faisais souffrir, alors j’avais une bonne raison de me dĂ©filer. Cette pensĂ©e a eu raison de mon malaise et de ma culpabilitĂ©. Un mois plus tard, la dirigeante a dit dans une lettre que les frĂšres et sƓurs m’avaient de nouveau choisie comme candidate. AprĂšs avoir lu la lettre, je me suis demandĂ© Pourquoi me recommandent-ils comme candidate ? Être un dirigeant est si dangereux ! ÒȘa reprĂ©sente beaucoup de travail et de problĂšmes, et je pourrais ĂȘtre rĂ©vĂ©lĂ©e n’importe quand. Il y a eu des gens, autour de moi, qui ne semblaient pas avoir de problĂšme tant qu’ils n’étaient pas dirigeants, mais dĂšs qu’ils le sont devenus, ils ont Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ©s comme faux dirigeants et renvoyĂ©s, ou identifiĂ©s comme des antĂ©christs et expulsĂ©s. Il semble que le statut rĂ©vĂšle effectivement les gens. » J’ai donc dĂ©cidĂ© de ne pas me prĂ©senter Ă  l’élection. Mais la dirigeante a dit que je devais ĂȘtre lĂ  Ă  l’heure, alors j’y suis allĂ©e Ă  contrecƓur. Je n’ai pas eu grand-chose Ă  dire au cours de ces journĂ©es de rĂ©unions. Quand est venu le moment de voter, j’ai hĂ©sitĂ© un long moment. Finalement, j’ai dit Ă  tout le monde Je m’abstiens. Je ne voterai pas et je ne me prĂ©senterai pas. » Peu aprĂšs mon retour Ă  la maison, ma maladie est rĂ©apparue. J’ai eu la diarrhĂ©e, de la fiĂšvre, et les mĂ©dicaments ne me faisaient rien. AprĂšs plusieurs jours, mon Ă©tat s’est enfin amĂ©liorĂ©, mais mes bras et mon cou se sont couverts de taches rouges. ÒȘa s’est aggravĂ©. DĂšs que je commençais Ă  transpirer, tout mon corps me faisait mal. En quelques jours, j’ai Ă©tĂ© complĂštement Ă©puisĂ©e par ces maladies. J’ai compris que je n’étais pas malade par hasard, que c’était la discipline de Dieu, mais je ne savais pas comment rĂ©flĂ©chir. J’ai priĂ© Dieu, Lui demandant de me guider pour que je me connaisse et que j’en tire une leçon. Plus tard, quand ma dirigeante a appris que je souffrais de ces maladies, elle m’a conseillĂ© de rĂ©flĂ©chir sur mon attitude envers l’élection et elle a trouvĂ© un passage de la parole de Dieu qui concernait mon Ă©tat. Avec une nature satanique, une fois que les gens obtiennent un statut, ils sont en danger. Alors que faut-il faire ? N’ont-ils aucun chemin Ă  suivre ? Ce fait ne peut-il pas ĂȘtre changĂ© ? Dites-moi, au moment oĂč des gens corrompus obtiennent un statut – indĂ©pendamment de qui ils sont – deviennent-ils des antĂ©christs ? Est-ce absolu ? S’ils ne poursuivent pas la vĂ©ritĂ©, alors ils deviendront des antĂ©christs, mais s’ils poursuivent la vĂ©ritĂ©, ce ne sera pas le cas. C’est absolument vrai si les gens ne recherchent pas la vĂ©ritĂ©, ils deviendront Ă  coup sĂ»r des antĂ©christs. Et est-il vrai que tous ceux qui marchent sur le chemin des antĂ©christs le font Ă  cause de leur statut ? Non, c’est surtout parce qu’ils n’aiment pas la vĂ©ritĂ©, parce qu’ils n’ont pas raison. Qu’ils aient un statut ou non, les gens qui ne recherchent pas la vĂ©ritĂ© marchent tous sur le chemin des antĂ©christs. Quel que soit le nombre de sermons qu’ils ont entendus, ces gens n’acceptent pas la vĂ©ritĂ©, ils ne suivent donc pas le bon chemin et ils suivent donc inĂ©vitablement le chemin tortueux. C’est comme la maniĂšre de se nourrir certains, au lieu de consommer des aliments pouvant nourrir sainement leur corps et favoriser une existence normale, prĂ©fĂšrent consommer des choses qui leur font du mal et, au bout du compte, se tirer une balle dans le pied. N’est-ce pas leur propre choix ? Quand ils sont rejetĂ©s, certains dirigeants et ouvriers diffusent des notions, ils disent “Ne soyez pas dirigeants, et n’allez pas obtenir un statut. Les gens sont en danger dĂšs l’instant oĂč ils obtiennent un quelconque statut, et Dieu les exposera ! Une fois exposĂ©s, ils ne seront mĂȘme pas en mesure d’ĂȘtre des croyants ordinaires et ils ne recevront aucune bĂ©nĂ©diction.” Qu’est-ce que cela signifie donc ? Au mieux, cela reflĂšte une mauvaise perception de Dieu ; au pire, c’est un blasphĂšme contre Lui. Si tu ne suis pas le bon chemin, que tu ne poursuis pas la vĂ©ritĂ© et que tu ne suis pas la voie de Dieu mais persistes Ă  emprunter la voie des antĂ©christs pour te retrouver sur le chemin de Paul et finir par connaĂźtre le mĂȘme sort, la mĂȘme fin que lui, Ă  blĂąmer Dieu et Le juger injuste, n’es-tu pas alors un vĂ©ritable exemple d’antĂ©christ ? Une telle conduite est maudite ! Lorsque les gens ne comprennent pas la vĂ©ritĂ©, ils vivent toujours selon leurs notions et leurs imaginations, interprĂštent frĂ©quemment Dieu de maniĂšre erronĂ©e et sentent que les actions de Dieu sont en contradiction avec leurs propres notions, ce qui produit chez eux des Ă©motions nĂ©gatives cela se produit parce que les gens ont des tempĂ©raments corrompus. Ils disent des choses nĂ©gatives et pleines de ressentiment parce que leur foi est trop dĂ©risoire, leur stature est trop petite et ils comprennent trop peu de vĂ©ritĂ©s – ce qui est tout Ă  fait pardonnable, et Dieu n’en garde pas le souvenir. Et pourtant, il y a ceux qui ne suivent pas le bon chemin, qui suivent spĂ©cifiquement le chemin qui consiste Ă  tromper Dieu, Ă  Lui rĂ©sister, Ă  Le trahir et Ă  lutter contre Lui. Ces gens sont finalement punis et maudits par Dieu, et plongĂ©s dans la perdition et la destruction. Comment en arrivent-ils lĂ  ? C’est parce qu’ils n’ont jamais rĂ©flĂ©chi et ne se sont jamais connus eux-mĂȘmes, parce qu’ils n’acceptent pas du tout la vĂ©ritĂ©, sont imprudents et volontaires, refusent obstinĂ©ment de se repentir et se plaignent de Dieu aprĂšs avoir Ă©tĂ© exposĂ©s et rejetĂ©s, disant que Dieu n’est pas juste. Ces gens pourraient-ils ĂȘtre sauvĂ©s ? Non. Ils ne le pourraient pas. Alors, est-il vrai que tous ceux qui sont rejetĂ©s sont au-delĂ  du salut ? On ne peut pas dire qu’ils soient totalement irrĂ©cupĂ©rables. Il y a ceux qui comprennent trop peu de vĂ©ritĂ©s et qui sont jeunes et inexpĂ©rimentĂ©s, qui, une fois qu’ils sont devenus dirigeants ou ouvriers et ont un statut, sont dirigĂ©s par leur tempĂ©rament corrompu, recherchent un statut, jouissent de ce statut et suivent donc naturellement le chemin des antĂ©christs. Si, aprĂšs avoir Ă©tĂ© exposĂ©s et jugĂ©s, ils sont capables de rĂ©flĂ©chir sur eux-mĂȘmes et de se repentir vraiment, en abandonnant la mĂ©chancetĂ© comme les habitants de Ninive, en ne suivant plus le chemin du mal comme ils le faisaient auparavant, alors ils ont encore la possibilitĂ© d’ĂȘtre sauvĂ©s. Mais quelles sont les conditions d’une telle opportunitĂ© ? AprĂšs avoir Ă©tĂ© exposĂ©s et identifiĂ©s, ils se repentent vraiment, ils sont capables d’accepter la vĂ©ritĂ©, ce qui signifie qu’ils ont encore un peu d’espoir. S’ils sont incapables de rĂ©flĂ©chir sur eux-mĂȘmes et n’ont aucune intention de se repentir vĂ©ritablement, ils seront complĂštement rejetĂ©s » Il faut avoir un chemin de pratique spĂ©cifique pour corriger ses tempĂ©raments corrompus », dans Sermons de Christ des derniers jours. AprĂšs avoir lu ces paroles de Dieu, ma dirigeante m’a rappelĂ© Tu crois qu’en tant que dirigeant, on est facilement rĂ©vĂ©lĂ©, remplacĂ© ou chassĂ©. Ce point de vue est-il correct ? Que les gens soient finalement rĂ©vĂ©lĂ©s et chassĂ©s dĂ©pend du fait qu’ils recherchent la vĂ©ritĂ© ou non et du chemin qu’ils prennent. Le fait qu’ils soient dirigeants ou non ne change rien. Si quelqu’un ne recherche pas la vĂ©ritĂ© ou n’emprunte pas le bon chemin en tant que dirigeant, s’il fait le mal, perturbe le travail de la maison de Dieu et refuse de se repentir, il sera immanquablement rĂ©vĂ©lĂ© et chassĂ©. Mais quand certains, mĂȘme s’ils commettent des erreurs et des transgressions dans leurs devoirs, sont capables d’accepter la vĂ©ritĂ©, de rĂ©flĂ©chir sur eux-mĂȘmes et de se repentir vraiment, la maison de Dieu leur donne d’autres chances. S’ils ont un petit calibre et ne sont pas Ă  la hauteur d’un poste de dirigeant, ils seront transfĂ©rĂ©s Ă  un devoir qui leur convient, mais ils ne seront pas renvoyĂ©s ou chassĂ©s Ă  la lĂ©gĂšre. Parmi tous les dirigeants dans la maison de Dieu, pourquoi certains comprennent-ils de mieux en mieux la vĂ©ritĂ© et s’amĂ©liorent-ils dans leurs devoirs ? Pourquoi certains font-ils des choses mauvaises et sont-ils rĂ©vĂ©lĂ©s en tant que faux dirigeants et antĂ©christs, puis rejetĂ©s ? Leurs Ă©checs ont-ils le moindre rapport avec le fait d’ĂȘtre des dirigeants ? De plus, la maison de Dieu a rĂ©vĂ©lĂ© et rejetĂ© de nombreux malfaiteurs, qui n’étaient pas dirigeants pour la plupart. Ils ont Ă©tĂ© rejetĂ©s parce qu’ils haĂŻssaient la vĂ©ritĂ©, n’empruntaient pas le bon chemin, se dĂ©chaĂźnaient dans leurs devoir et causaient des dĂ©rangements et des perturbations. Cela a-t-il un rapport avec le fait d’ĂȘtre un dirigeant ? » J’ai Ă©tĂ© un peu Ă©branlĂ©e et j’ai rĂ©pondu C’est vrai, tous les dirigeants ne sont pas rĂ©vĂ©lĂ©s et rejetĂ©s dĂšs qu’ils ont un statut. Quand ça se produit, c’est parce qu’ils n’empruntent pas le bon chemin, ne recherchent pas la vĂ©ritĂ©, ne dĂ©sirent que les bĂ©nĂ©fices du statut, agissent arbitrairement, se dĂ©chaĂźnent et causent des dĂ©rangements et des perturbations. C’est ce qui fait d’eux des faux dirigeants et des antĂ©christs qui sont rĂ©vĂ©lĂ©s et rejetĂ©s. » J’ai pensĂ© Ă  FrĂšre Wu, qui avait Ă©tĂ© renvoyĂ© quelque temps plus tĂŽt. En tant que dirigeant, il Ă©tait toujours arrogant, il s’affichait, il rabaissait et ostracisait ses partenaires en permanence, ce qui les empĂȘchait d’accomplir leurs devoirs normalement parce qu’ils se sentaient Ă©touffĂ©s. Ses dirigeants avaient Ă©changĂ© avec lui de nombreuses fois, mais il n’avait jamais changĂ© et il n’avait Ă©tĂ© renvoyĂ© qu’aprĂšs ça. J’ai rĂ©flĂ©chi sur les annĂ©es oĂč j’avais Ă©tĂ© dirigeante. J’avais souvent agi arbitrairement. Quand mes frĂšres et sƓurs avaient dĂ©noncĂ© les deux dirigeants d’Église, je n’avais pas enquĂȘtĂ© et vĂ©rifiĂ© comme les principes l’exigent. À la place, j’avais condamnĂ© ces dirigeants, allant jusqu’à les renvoyer et les expulser. Le rĂ©sultat, c’était que j’avais fait du mal aux deux dirigeants et semĂ© le chaos dans l’Église. En y repensant, j’ai compris que tout ce que j’avais fait Ă©tait mal. Je gĂąchais le travail de la maison de Dieu et la chance d’ĂȘtre sauvĂ©s des autres. Heureusement, mes dĂ©cisions erronĂ©es et injustes avaient Ă©tĂ© dĂ©couvertes et annulĂ©es. Sans ça, les consĂ©quences auraient Ă©tĂ© terribles. J’ai compris que mon renvoi n’avait rien Ă  voir avec mon statut ni le fait que j’étais dirigeante. J’avais Ă©tĂ© renvoyĂ©e parce que mon tempĂ©rament Ă©tait trop arrogant, je ne cherchais pas la vĂ©ritĂ©, j’agissais arbitrairement, sans entrer dans le dĂ©tail, je perturbais le travail de l’Église, et je n’avais pas rĂ©flĂ©chi sur moi-mĂȘme et ne m’étais pas repentie quand j’avais Ă©tĂ© Ă©mondĂ©e et traitĂ©e. VoilĂ  pourquoi on m’avait renvoyĂ©e. C’était en accord avec les principes et c’était la justice de Dieu. NĂ©anmoins, je ne me connaissais pas et je vivais dans un Ă©tat d’incomprĂ©hension et de mĂ©fiance envers Dieu. Je pensais que j’avais Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ©e parce que j’étais une dirigeante, que les exigences de la maison de Dieu Ă©taient trop grandes et que je n’avais Ă©tĂ© renvoyĂ©e que pour deux erreurs. C’était si absurde et dĂ©raisonnable ! C’est alors que j’ai compris que si je n’avais pas Ă©tĂ© renvoyĂ©e Ă  temps et arrĂȘtĂ©e dans mon Ă©lan, vu mon tempĂ©rament arrogant, j’aurais commis de bien plus grands mĂ©faits. Mon renvoi Ă©tait la protection de Dieu pour moi et une bonne occasion de rĂ©flĂ©chir sur moi-mĂȘme. J’ai songĂ© Ă  SƓur Wang, qui avait Ă©tĂ© ma partenaire. Elle avait Ă©tĂ© renvoyĂ©e mais, aprĂšs son Ă©chec, elle avait su rĂ©flĂ©chir sur elle-mĂȘme, en tirer une leçon et se repentir Ă  Dieu. Plus tard, quand elle Ă©tait redevenue dirigeante, elle avait pu chercher les principes de la vĂ©ritĂ© quand elle agissait et elle avait clairement progressĂ©. AprĂšs y avoir rĂ©flĂ©chi, j’ai compris que les gens n’étaient pas rejetĂ©s parce qu’ils avaient un statut. Ils se nuisent Ă  eux-mĂȘmes Ă  cause de leurs tempĂ©raments corrompus. Si nos tempĂ©raments corrompus ne sont pas rĂ©solus, mĂȘme si on n’est pas dirigeant et ne commet pas de mĂ©fait dans une position de dirigeant, on sera rejetĂ©s pour ne pas avoir recherchĂ© la vĂ©ritĂ©. Quand je l’ai compris, mon Ă©tat a commencĂ© Ă  changer, mais j’avais encore des inquiĂ©tudes. Je me disais Ma comprĂ©hension de la vĂ©ritĂ© est superficielle et les dirigeants doivent dĂ©cider de beaucoup de choses. Si je perturbe le travail de la maison de Dieu par des arrangements inappropriĂ©s, je risque de commettre des transgressions. Si je ne suis pas dirigeante et ne fais pas ce genre de travail, je ne commettrai pas de mĂ©faits et ne rĂ©sisterai pas Ă  Dieu Ă  cause de ça. Je crois toujours qu’il vaut mieux que je ne me prĂ©sente pas Ă  l’élection. » À ce moment-lĂ , j’ai lu un passage de la parole de Dieu Je ne veux voir personne se sentir comme si Dieu l’avait laissĂ© pour compte, l’avait abandonnĂ© ou lui avait tournĂ© le dos. Je voudrais seulement vous voir tous emprunter le chemin qui consiste Ă  poursuivre la vĂ©ritĂ© et chercher Ă  comprendre Dieu, allant hardiment de l’avant avec une volontĂ© sans faille, sans crainte, sans fardeau. Quels que soient les torts que tu as commis, peu importe Ă  quel point tu t’es Ă©garĂ© ou tu as mal agi, ne laisse pas cela devenir un fardeau ou un boulet que tu doives traĂźner dans ta quĂȘte de comprĂ©hension de Dieu. Poursuis ta marche en avant. Le salut de l’homme occupe toujours une place dans le cƓur de Dieu. Cela ne change jamais c’est la partie la plus prĂ©cieuse de Son essence » Dieu Lui-mĂȘme, l’Unique VI », dans La Parole apparaĂźt dans la chair. Cette parole de Dieu m’a profondĂ©ment Ă©mue. Dieu ne renonce pas Ă  sauver les gens Ă  cause d’échecs et de transgressions temporaires. À la place, Il leur donne des occasions de se repentir. Il ne faut pas avoir peur de commettre des erreurs et des transgressions dans son devoir. Tant que les gens peuvent changer, Dieu continuera Ă  les guider. Je me suis souvenue que Dieu ne m’avait pas abandonnĂ©e malgrĂ© mes transgressions. Il n’avait fait que me chĂątier et me discipliner, puis Il avait utilisĂ© des gens pour m’exposer et me traiter, me dĂ©mettre de mon rĂŽle de dirigeante et m’inciter Ă  rĂ©flĂ©chir sur moi-mĂȘme. Mais je vivais dans un Ă©tat d’incomprĂ©hension et de mĂ©fiance envers Dieu, ne voulant pas ĂȘtre une dirigeante ou une ouvriĂšre, alors Dieu avait utilisĂ© d’autres gens pour Ă©changer avec moi Ă  plusieurs reprises et Il avait attendu que je change. Depuis le dĂ©but, Dieu avait Ă©tĂ© patient et tolĂ©rant envers moi. Il m’avait donnĂ© du temps et des opportunitĂ©s dans l’espoir que j’accepterais la vĂ©ritĂ© et me repentirais. Contrairement Ă  ce que je croyais, Il ne m’avait pas condamnĂ©e et rejetĂ©e pour une seule transgression. Quand je l’ai compris, j’ai Ă©prouvĂ© du remords et de la culpabilitĂ©, alors j’ai priĂ© Dieu Ô Dieu ! Je suis trop rebelle. Je ne veux plus mal Te comprendre et me mĂ©fier de Toi. Je veux me repentir, maintenant. S’il Te plaĂźt, guide-moi pour que je change mon Ă©tat incorrect. » AprĂšs ça, je me suis demandĂ© pourquoi j’avais mal compris Dieu et m’étais mĂ©fiĂ©e de Lui. Quelle Ă©tait la racine du problĂšme ? À ce moment-lĂ , ma dirigeante m’a envoyĂ© un passage de la parole de Dieu qui m’a beaucoup aidĂ©e. Dieu Tout-Puissant dit Si tu es malhonnĂȘte, alors tu seras mĂ©fiant et suspicieux Ă  propos de tous les gens et de toutes choses, et ainsi ta foi en Moi sera bĂątie sur un fondement de suspicion. Je ne pourrais jamais reconnaĂźtre une telle foi. Manquant d’une foi sincĂšre, tu es encore plus dĂ©pourvu d’un amour rĂ©el. Et si tu es enclin Ă  douter de Dieu et Ă  t’interroger Ă  Son sujet quand bon te semble, alors, sans l’ombre d’un doute, tu es le plus malhonnĂȘte de tous les gens. Tu te demandes si Dieu peut ĂȘtre comme l’homme pĂ©cheur impardonnable, de caractĂšre mesquin, dĂ©nuĂ© d’équitĂ© et de raison, privĂ© du sens de la justice, livrĂ© Ă  des tactiques vicieuses, sournois et trompeur, ainsi que rĂ©joui par le mal et les tĂ©nĂšbres, etc. Si les gens ont de telles pensĂ©es, n’est-ce pas parce qu’ils manquent de la moindre connaissance de Dieu ? Une telle foi n’est rien d’autre que pĂ©cheresse ! » Comment connaĂźtre le Dieu sur terre », dans La Parole apparaĂźt dans la chair. Cette parole de Dieu m’a permis de comprendre que j’avais mal compris Dieu et m’étais mĂ©fiĂ©e de Lui parce que ma nature Ă©tait trop malhonnĂȘte. AprĂšs avoir Ă©tĂ© renvoyĂ©e, je n’avais pas rĂ©flĂ©chi au chemin qui m’avait menĂ©e Ă  l’échec et je n’en avais pas tirĂ© de leçon pour ne pas reproduire mes erreurs. Au contraire, je m’étais dit qu’on Ă©tait trop facilement rĂ©vĂ©lĂ© et rejetĂ© en tant que dirigeant. Je pensais que le titre de dirigeante » m’avait nui. J’avais mĂȘme imaginĂ© Dieu comme un monarque terrestre qui condamnait les gens Ă  mort quand ils faisaient quelque chose de mal, alors les Ă©lections me terrifiaient. Je craignais d’ĂȘtre rĂ©vĂ©lĂ©e et de perdre ma fin en Ă©tant choisie comme dirigeante, alors j’étais toujours sur mes gardes et sur la dĂ©fensive en prĂ©sence de Dieu. L’exaltation de Dieu me semblait malveillante et je trouvais excuse aprĂšs excuse pour Ă©viter de me prĂ©senter aux Ă©lections. J’étais si malhonnĂȘte ! La maison de Dieu forme les dirigeants et les ouvriers pour leur donner l’occasion de pratiquer, afin qu’ils comprennent la vĂ©ritĂ© et assument le mandat de Dieu. Mais je pensais que Dieu avait l’intention de me rĂ©vĂ©ler et de me rejeter. Je comprenais mal Dieu et blasphĂ©mais contre Lui ! Je croyais en Dieu, mais je voyais toujours les choses du point de vue des injustes, je doutais et je me mĂ©fiais de Dieu. Par lĂ , j’exposais des tempĂ©raments mauvais et sataniques. Croire de cette maniĂšre n’était-il pas rĂ©sister Ă  Dieu ? Plus tard, aprĂšs avoir lu la parole de Dieu, j’ai mieux compris la volontĂ© de Dieu. La parole de Dieu dit Parfois, Dieu Se sert d’un certain sujet pour te mettre Ă  nu ou te discipliner. Est-ce que cela signifie que tu as Ă©tĂ© rejetĂ© ? Cela signifie-t-il que ta fin est venue ? Non. [
] En fait, dans bien des cas, les inquiĂ©tudes des gens sont liĂ©es Ă  leurs propres intĂ©rĂȘts. De façon gĂ©nĂ©rale, il s’agit de la crainte de n’avoir aucune fin. Ils se disent toujours “Et si Dieu me met Ă  nu, me chasse et me rejette ?” C’est ta mauvaise comprĂ©hension de Dieu ce ne sont que tes pensĂ©es. Il faut que tu dĂ©termines quelle est l’intention de Dieu. Quand Il met les gens Ă  nu, ce n’est pas fait pour les rejeter. Les gens sont mis Ă  nu pour exposer leurs dĂ©fauts, leurs erreurs et l’essence de leur nature, pour qu’ils se connaissent eux-mĂȘmes et soient capables d’une vraie repentance. De ce fait, si les gens sont mis Ă  nu, c’est pour que leur vie puisse grandir. Sans une comprĂ©hension pure, les gens sont susceptibles de mal interprĂ©ter Dieu et de devenir nĂ©gatifs et faibles. Ils peuvent mĂȘme cĂ©der au dĂ©sespoir. En fait, ĂȘtre mis Ă  nu par Dieu ne signifie pas nĂ©cessairement que les gens seront chassĂ©s. Il s’agit de te donner une connaissance et te faire te repentir. Souvent, parce que les gens sont rebelles et ne cherchent pas la vĂ©ritĂ© pour trouver une solution lorsqu’ils prĂ©sentent des manifestations de corruption, Dieu doit faire preuve de discipline. Et donc parfois, Il met les gens Ă  nu, exposant leur laideur et leur Ă©tat pitoyable et leur permettant de se connaĂźtre, ce qui permet que leur vie grandisse. Mettre les gens Ă  nu a deux implications diffĂ©rentes Concernant les mĂ©chants, ĂȘtre mis Ă  nu signifie qu’ils sont chassĂ©s. Concernant ceux qui sont capables d’accepter la vĂ©ritĂ©, c’est un rappel et un avertissement cela les amĂšne Ă  rĂ©flĂ©chir sur eux-mĂȘmes, Ă  voir leur vĂ©ritable Ă©tat et Ă  ne plus ĂȘtre capricieux et irrĂ©flĂ©chis, car continuer ainsi serait dangereux. Mettre ainsi les gens Ă  nu, c’est leur adresser un rappel afin que, lorsqu’ils accomplissent leur devoir, ils ne soient pas confus et nĂ©gligents, qu’ils ne soient pas blasĂ©s, qu’ils ne se contentent pas d’ĂȘtre seulement un peu efficaces, pensant avoir rempli leur devoir selon une norme acceptable, alors qu’en rĂ©alitĂ©, Ă  l’aune de ce que Dieu demande, ils sont loin d’ĂȘtre Ă  la hauteur mais sont toujours prĂ©tentieux et complaisants et pensent que tout va bien dans leur conduite. Dans de telles circonstances, Dieu disciplinera, mettra en garde et rappellera les gens. Parfois, Dieu met Ă  nu leur laideur, ce qui sert manifestement de rappel. Dans ces moments-lĂ , tu dois rĂ©flĂ©chir sur toi-mĂȘme accomplir ton devoir de cette maniĂšre est inadĂ©quat, il y a de la rĂ©bellion en jeu, il y a lĂ -dedans trop de choses nĂ©gatives, c’est tout Ă  fait superficiel et si tu ne te repens pas, tu seras puni. Lorsque Dieu te discipline, et te met Ă  nu, cela ne signifie pas nĂ©cessairement que tu seras chassĂ©. Cette question doit ĂȘtre abordĂ©e correctement » Ce n’est qu’en pratiquant les paroles de Dieu que l’on peut obtenir un changement de tempĂ©rament », dans Sermons de Christ des derniers jours. Quand j’ai lu ces paroles de Dieu, j’ai Ă©tĂ© trĂšs Ă©mue. Je me suis aussi sentie honteuse et coupable. Dieu rĂ©vĂšle les gens, les traite et les discipline pour qu’ils se connaissent, se repentent et changent. Dieu essayait sincĂšrement de me sauver, mais quand j’avais Ă©tĂ© confrontĂ©e Ă  l’émondage, au traitement et Ă  l’échec, je n’avais pas vu Ses bonnes intentions. Je m’étais agrippĂ©e obstinĂ©ment aux absurditĂ©s et aux mensonges de Satan comme Plus on s’élĂšve et plus dure sera la chute » et On est bien seul au sommet ». Je croyais qu’ĂȘtre un dirigeant dans la maison de Dieu Ă©tait comme ĂȘtre un responsable dans le monde et que plus ma position serait Ă©levĂ©e, plus je risquerais d’ĂȘtre rĂ©vĂ©lĂ©e et rejetĂ©e. Pendant toutes ces annĂ©es, alors que je comprenais mal Dieu et me mĂ©fiais de Lui, mon cƓur est restĂ© fermĂ© Ă  Dieu. J’ai rĂ©pĂ©titivement refusĂ© le mandat et les environnements de Dieu, Ă©vitĂ© les Ă©lections, je suis restĂ©e extrĂȘmement prudente et inquiĂšte dans mon devoir, alors je ne pouvais pas me consacrer entiĂšrement Ă  Dieu et Lui donner mon cƓur, et j’avais toujours une attitude tiĂšde envers la vĂ©ritĂ©, comme un non-croyant. J’étais prise dans le piĂšge de Satan, blessĂ©e par Satan, et je ne voyais mĂȘme pas Ă  quel point ça nuisait Ă  ma vie. À prĂ©sent, j’étais au bord du gouffre, alors je ne pouvais plus mal comprendre Dieu et Lui faire du mal. J’ai priĂ© Dieu en silence Ô Dieu, je veux me repentir Ă  Toi et traiter correctement les Ă©lections. Que je sois choisie ou non, je me soumettrai Ă  Tes arrangements. » Quand le moment des Ă©lections est venu, j’étais encore partagĂ©e. J’ai pensĂ© S’ils me choisissent vraiment, je devrai l’accepter et obĂ©ir mais, comme on dit, “Il faut un marteau puissant pour forger le fer”. Comme mon calibre et mes compĂ©tences sont limitĂ©s, il vaudrait mieux que quelqu’un d’autre soit Ă©lu. Comme ça, je ne serai pas rĂ©vĂ©lĂ©e une nouvelle fois. » Dans mon dilemme, j’ai subitement pensĂ© Ă  une parole de Dieu Lorsque les Ă©lus de Dieu accomplissent leur devoir dans le royaume et que les crĂ©atures de Dieu accomplissent leur devoir devant le CrĂ©ateur, ils doivent avoir un cƓur qui craint Dieu et procĂ©der calmement, et ne doivent pas ĂȘtre lĂąches, timides ni craintifs est-il honteux de faire son devoir ? » La Parole apparaĂźt dans la chair, vol. 2, Sermons de Christ des derniers jours. Cette parole de Dieu m’a rĂ©veillĂ©e sur-le-champ. Oui, au moment critique, je voulais battre en retraite et fuir. Je m’étais toujours inquiĂ©tĂ©e Ă  propos des Ă©lections. OĂč Ă©taient mon courage et ma dignitĂ© ? J’étais aussi lĂąche et timide que Dieu le disait ! Il est juste et convenable qu’un ĂȘtre créé accomplisse son devoir, c’est honorable. Mais je me dĂ©filais et me cachais dans une lĂąchetĂ© honteuse. C’était si stupide et pathĂ©tique ! Je devais me tourner vers Dieu, ĂȘtre une personne simple et honnĂȘte, arrĂȘter de m’inquiĂ©ter pour ma fin et ma destination et donner mon cƓur Ă  Dieu. Que je sois Ă©lue ou non, je devais avoir une attitude d’obĂ©issance envers Dieu et, si j’étais choisie, je devais l’accepter, obĂ©ir et bien accomplir mon devoir. Quand j’ai franchi cette ligne dans ma tĂȘte, j’ai eu l’impression que mon cƓur Ă©tait dĂ©livrĂ© d’un grand poids et j’ai Ă©tĂ© submergĂ©e par le soulagement. Quand les rĂ©sultats sont tombĂ©s, j’ai Ă©tĂ© Ă©lue avec une autre sƓur. Cette fois, je n’étais plus sur la dĂ©fensive, dans l’incomprĂ©hension, et je n’ai plus craint d’ĂȘtre rejetĂ©e si je n’accomplissais pas bien mon devoir. À la place, j’ai voulu chĂ©rir cette opportunitĂ© et accomplir mon devoir du mieux possible pour compenser mes transgressions passĂ©es. Plus tard, j’ai lu un autre passage de la parole de Dieu Avez-vous peur de suivre le chemin des antĂ©christs ? Oui. La peur est-elle utile en soi ? Non, la peur seule ne peut pas rĂ©soudre le problĂšme. Il est normal d’avoir peur. Avoir peur dans l’ñme montre que l’on est un amoureux de la vĂ©ritĂ©, qu’on est quelqu’un qui est prĂȘt Ă  s’efforcer d’aller vers la vĂ©ritĂ© et qui est prĂȘt Ă  la poursuivre. Si vous avez peur dans l’ñme, alors vous devriez rechercher la vĂ©ritĂ© et trouver le chemin de pratique. Vous devez commencer par apprendre Ă  coopĂ©rer avec les autres en harmonie. S’il y a un problĂšme, rĂ©solvez-le par l’échange et la discussion, afin que chacun puisse connaĂźtre les principes ainsi que le raisonnement et le programme spĂ©cifiques concernant la rĂ©solution. Cela ne t’évite-t-il pas de prendre des mesures dictatoriales unilatĂ©rales ? De plus, tu dois apprendre Ă  laisser le groupe te superviser et t’aider. Cela demande de la tolĂ©rance et de l’ouverture d’esprit. [
] Il est certes nĂ©cessaire d’accepter une supervision, mais l’essentiel est de prier Dieu et de s’appuyer sur Lui, en se soumettant Ă  une rĂ©flexion constante. Surtout lorsque tu as fait fausse route ou que tu as fait quelque chose de mal, ou lorsque tu es sur le point de prendre une mesure dictatoriale et unilatĂ©rale et que quelqu’un Ă  proximitĂ© le mentionne et t’alerte, tu dois accepter cela et te hĂąter de rĂ©flĂ©chir sur toi-mĂȘme, et admettre ton erreur, et la corriger. Cela peut t’éviter d’emprunter le chemin des antĂ©christs. Si quelqu’un t’aide et t’alerte de cette façon, n’es-tu pas prĂ©servĂ© sans le savoir ? Tu l’es c’est ta prĂ©servation » Le bon accomplissement de son devoir requiert une coopĂ©ration harmonieuse », dans Sermons de Christ des derniers jours. Cette parole de Dieu indique le principe de pratique pour Ă©viter de prendre le mauvais chemin, qui est de chercher la vĂ©ritĂ© quoi qu’il arrive, de discuter des choses avec les frĂšres et sƓurs, de coopĂ©rer harmonieusement, d’accomplir notre devoir selon les principes de la vĂ©ritĂ©, de ne pas agir arbitrairement par tempĂ©rament arrogant, de ne pas exiger d’avoir le dernier mot et d’accepter la supervision de nos frĂšres et sƓurs dans nos devoirs. Si on Ă©choue Ă  accomplir notre devoir parce qu’on craint de prendre le chemin des antĂ©christs et d’ĂȘtre rĂ©vĂ©lĂ©s, on ne rĂ©soudra pas de problĂšmes et on gĂąchera notre chance de gagner la vĂ©ritĂ© et d’ĂȘtre sauvĂ©s. C’est comme s’affamer par peur de s’étouffer. Plus tard, j’ai tirĂ© les leçons de mes Ă©checs prĂ©cĂ©dents et j’ai eu une attitude bien plus correcte dans mon devoir. J’ai consciemment discutĂ© des choses avec les autres et j’ai Ă©tĂ© capable de bien travailler avec eux. On a cherchĂ© les principes de la vĂ©ritĂ© ensemble. AprĂšs quelque temps, j’ai vu la direction de Dieu et mes devoir ont produit des rĂ©sultats. GrĂące Ă  cette expĂ©rience, j’ai vu que Dieu ne m’avait pas rejetĂ©e Ă  cause de mes transgressions et qu’Il ne m’avait pas abandonnĂ©e parce que je me mĂ©fiais de Lui. À la place, Il a arrangĂ© des gens, des problĂšmes et des choses afin de m’inciter Ă  venir devant Lui pour rĂ©flĂ©chir sur mon tempĂ©rament corrompu, de maniĂšre Ă  ce que je comprenne Sa volontĂ©, que j’arrĂȘte de mal Le comprendre et que j’accomplisse mon devoir avec contentement. Dieu soit louĂ© ! Carqu’est-ce que « rĂ©flĂ©chir » veut dire ? L’activitĂ© de « rĂ©flexion » consiste Ă  mettre en lien un problĂšme prĂ©sent avec des Ă©voquĂ©s mĂ©morisĂ©s. Vous ĂȘtes confrontĂ© Ă  un problĂšme Ă  rĂ©soudre et vous allez chercher les rĂšgles (ou les lois) que vous avez en mĂ©moire afin de retrouver celle qui s’applique dans ce cas particulier. En grammaire, un verbe rĂ©flĂ©chi est, en gros, un verbe dont l'objet direct est le mĂȘme que son sujet; pour Exemple, "Je me lave". Plus gĂ©nĂ©ralement, un verbe rĂ©flĂ©chi a le mĂȘme agent sĂ©mantique et patient typiquement reprĂ©sentĂ© syntaxiquement par le sujet et l'objet direct. DĂšs lors, comment identifie-t-on un verbe rĂ©flĂ©chi ?Si le sujet dans une phrase exĂ©cute une action sur lui-mĂȘme, alors le verbe est considĂ©rĂ© comme rĂ©flĂ©chiet le pronom utilisĂ© pour recevoir l'action est rĂ©flĂ©chi. Le singulier rĂ©flĂ©chi les pronoms sont me moi-mĂȘme, te vous-mĂȘme et se vous-mĂȘme formel, lui-mĂȘme, elle-mĂȘme.De mĂȘme, est-ce que n'importe quel verbe peut ĂȘtre rĂ©flĂ©chi ? Un verbe rĂ©flĂ©chi est un verbe qui fait rĂ©fĂ©rence Ă  quelque chose dont le sujet Est-ce que Ă  lui-mĂȘme. Plus verbes pronominaux sont simplement rĂ©guliers verbes avec un se ajoutĂ© Ă  eux pour indiquer que le sujet et l'objet sont les mĂȘmes. Quelquescependant, sont incapables d'ĂȘtre autre chose que rĂ©flĂ©chi. De plus, comment utilisez-vous les verbes rĂ©flĂ©chis dans une phrase ? Exemples de phrases utilisant des verbes rĂ©flĂ©chis et quasi-rĂ©flexifs Él se lave. Il se je llame Jennifer. Je m'appelle lama Rebecca. Elle s'appelle se quedan en casa. Vous restez tous chez te acuestas. Vous vous nos me lavo los se baña con agua signifie un verbe rĂ©flĂ©chi ?En grammaire, un verbe rĂ©flĂ©chi est, en gros, un verbe dont l'objet direct est le identique Ă  son sujet ; par exemple, "Je me lave". Plus gĂ©nĂ©ralement, une verbe rĂ©flĂ©chi a le mĂȘme agent sĂ©mantique et patient typiquement reprĂ©sentĂ© syntaxiquement par le sujet et l'objet direct. Le Levantarse est-il un verbe rĂ©flĂ©chi ? L'Espagnol verbe lever signifie 'se lever' ou 'se lever'. C'est un verbe rĂ©flĂ©chi et doit avoir un rĂ©flĂ©chi pronom avec le conjuguĂ© verbe. Gustar est-il un verbe rĂ©flĂ©chi ? UN verbe est rĂ©flĂ©chi lorsque le sujet et l'objet de la verbe sont identiques. Le verbe gustar n'est pas rĂ©flĂ©chi mais c'est un animal complĂštement diffĂ©rent. Pour une raison quelconque, le sujet de la phrase est ce qui suit goĂ»ter. Dans la phrase "me gustas tĂș", le sujet est tĂș et l'objet indirect est moi. Comer est-il un verbe rĂ©flĂ©chi ? Ce n'est pas rĂ©flĂ©chi, juste pronominal. Dans certaines parties du monde, un pronom est utilisĂ© avec certains verbes ajouter une nuance de sens. Avec arrivant il est utilisĂ© lorsqu'une quantitĂ© spĂ©cifique de quelque chose est consommĂ©e. Ducharse est-il un verbe rĂ©flĂ©chi ? Pronominal verbes sont ceux qui se terminent par -se Ă  l'infinitif, comme levantarse "se lever" ou ducharse 'prendre une douche'. Cela signifie que nous devrons ajouter un rĂ©flĂ©chi pronom au verbe selon la personne Ă  laquelle on se rĂ©fĂšre quand on les conjugue. Ces pronoms sont me / te / se / nos / os / se. Comment savoir si un verbe est pronominal en français ? UN verbe rĂ©flĂ©chi est composĂ© d'un rĂ©flĂ©chi pronom et un verbe. Le rĂ©flĂ©chi les pronoms sont me, te, se, nous, vous, se m', t', s', nous, vous, s' devant une voyelle, la plupart des mots commençant par h et le Français mot y. Le rĂ©flĂ©chi le pronom vient avant le verbeĂ  l'exception lorsque vous dites Ă  quelqu'un de faire quelque chose. Comment forme-t-on un verbe rĂ©flĂ©chi en espagnol ? Vous avez appris Ă  conjuguer des verbes rĂ©flĂ©chis comme ceci moi lavo. Je me lavetu te laves. vous vous lavez vous informelĂ©l/ella se lave. il/elle se laveusted se lave. tu toi laves formelnosotros/as nos lavamos. nous nous lavonsvosotros/as os se lavan. Quelles sont les deux parties d'un verbe pronominal espagnol ? Verbes pronominaux sont formĂ©s avec deux principale les piĂšces. Le principal verbe est celui qui accomplit l'action, et le rĂ©flĂ©chi le pronom est Ă  qui l'action est dirigĂ©e. Est-ce que ayudar est un verbe rĂ©flĂ©chi ? Le verbe aider est un -ar rĂ©gulier verbe. Il peut ĂȘtre utilisĂ© pour parler de comment, qui ou quand vous aiderez. Il est souvent utilisĂ© avec le a personnel ou avec une prĂ©position comme con. Il peut Ă©galement ĂȘtre utilisĂ© avec des pronoms objets comme me ou nos. Qu'entend-on par verbe ? UN verbe est un mot qui exprime une action ou un Ă©tat d'ĂȘtre. Parce que l'action verbes et la liaison verbes sont assez forts pour ĂȘtre utilisĂ©s seuls dans des phrases, ils sont appelĂ©s main verbes. Que sont les pronoms rĂ©flĂ©chis ? Ils peuvent agir comme des objets ou des objets indirects. Les neuf pronoms rĂ©flĂ©chis anglais sont moi-mĂȘme, toi-mĂȘme, lui-mĂȘme, sesoi-mĂȘme, lui-mĂȘmenous-mĂȘmes, vous-mĂȘmes et eux-mĂȘmes. Les infinitifs sont-ils des verbes ? Un infinitif est un non fini verbe. En d'autres termes, il ne peut pas ĂȘtre le principal verbe dans une phrase. Un infinitif peut ĂȘtre utilisĂ© comme nom, adjectif ou adverbe. Lorsque vous utilisez des verbes rĂ©flĂ©chis, une personne fait une action pour ? Lorsqu'un verbe est rĂ©flĂ©chi, l'objet direct et le sujet sont identiques. Cela signifie que quelqu'un ou quelque chose effectue un agir sur lui-mĂȘme, elle-mĂȘme ou lui-mĂȘme. Exemple 1 J'apprends moi-mĂȘme Ă  parler espagnol. Quel est un exemple de verbe transitif ? Exemples de Transitif Verbes Alexandre a envoyĂ© Verbe transitif une carte postale objet direct d'Argentine. Elle est partie Verbe transitif les clĂ©s objet direct sur la table. Mon pĂšre a pris Verbe transitif moi objet direct au cinĂ©ma pour mon anniversaire. S'il vous plaĂźt acheter Verbe transitif moi un chien objet direct ! Qu'est-ce qu'un verbe pronominal en anglais ? UN verbe pronominal est un verbe qui s'accompagne d'un rĂ©flĂ©chi pronom. Verbes pronominaux se divisent en trois grandes classes en fonction de leur signification rĂ©flĂ©chi, idiomatique et rĂ©ciproque. Le verbe se conjugue normalement ici un -er verbe avec l'ajout du rĂ©flĂ©chi pronoms me, te, se, nous, vous, se. Un Verbe est-il rĂ©flexif s'il se termine par Le ? Verbes pronominaux sont utilisĂ©s lorsque la personne fait l'action pour elle-mĂȘme. Nous connaissons un verbe est rĂ©flĂ©chi parce qu'il prend fin en "se". La bonne rĂ©flĂ©chi les pronoms sont me, te, se, nos, os, se. Si lĂ  est un verbe dans une phrase, vous devez placer le rĂ©flĂ©chi pronom devant le conjuguĂ© verbe. Qu'est-ce qu'un verbe rĂ©ciproque ? Verbes rĂ©ciproques sont verbes qui indiquent qu'une action est en cours sur deux sujets ou plus. La traduction la plus courante est que deux personnes ou plus font quelque chose l'une avec l'autre ». Verbes rĂ©ciproques sont une combinaison d'un verbe et un rĂ©ciproque pronom. Comment conjuguer les verbes rĂ©flĂ©chis au futur ? Conjuguer les verbes pronominaux dans Le Futur Proche aller + infinitifJe vais me lever tĂŽt Je vais me lever vas t'habiller Tu vas t' va s'amuser, elle va s' allons nous rĂ©veillerNous allons nous allez vous asseoir Vous allez vous jumelles vont s'appeler LĂ©a et ZoĂ© Mes jumelles vont s'appeler LĂ©a et ZoĂ© quiserviront dans la rĂ©solution de problĂšmes mais aussi que le travail sur les techniques peut donner lieu Ă  des justifications et des argumentations. Nous pensons donc que c’est lĂ  un vrai travail mathĂ©matique. Dans un premier temps, nous allons dĂ©finir ce que nous entendons par « calcul rĂ©flĂ©chi » et en exposer

Ce dictionnaire contient 68 citations et pensĂ©es d'auteurs cĂ©lĂšbres français ou d'auteurs Ă©trangers sur le verbe rĂ©flĂ©chir. Si vous recherchez un proverbe, consultez nos meilleurs proverbes sur rĂ©flĂ©chir issus des quatre coins du monde Le Français aime avant de rĂ©flĂ©chir, mais quand il se met Ă  rĂ©flĂ©chir il n'aime dĂ©jĂ  plus ! Alexandre Weill ; Le petit trĂ©sor d'esprit 1874 RĂ©flĂ©chir, c'est nier ce que l'on croit. Alain ; Les propos sur la religion 1938 Il y a des choses sans importance qu'il vaut mieux ne pas perdre son temps Ă  y rĂ©flĂ©chir. Victor Cherbuliez ; Les pensĂ©es extraites de ses Ɠuvres 1913 PensĂ©es, rĂ©flexions, maximes – et jeux de mots. Il ne faut pas s'Ă©tonner de leur mĂ©lancolie ni de leur pessimisme. On ne rĂ©flĂ©chit pas lorsque l'on est heureux. Sacha Guitry ; Les femmes et l'amour 1935 Le retard employĂ© Ă  rĂ©flĂ©chir tient lieu de diligence. Publilius Syrus ; Les sentences et adages - Ier s. av. On prend beaucoup d'effort et l'on dilapide bien des jours Ă  apprendre quoi penser, alors que presque rien n'est employĂ© Ă  enseigner l'art de rĂ©flĂ©chir. Georg Christoph Lichtenberg ; Le miroir de l'Ăąme 1799 Avant de s'embarquer dans une aventure, il faut y rĂ©flĂ©chir longtemps. Charles de Saint-Évremond ; Les maximes et prĂ©ceptes de conduite 1692 Rien ne sert de penser, il faut rĂ©flĂ©chir avant. Pierre Dac ; Y'a du mou dans la corde Ă  noeuds - Ed. Julliard 1995 Un caprice doit nous faire rĂ©flĂ©chir, c'est le valet qui s'installe chez nous. Anne Barratin ; Chemin faisant 1894 L'homme n'est ordinairement qu'une machine, ce n'est que dans le malheur ou dans la vieillesse qu'il s'avise trop tard de rĂ©flĂ©chir. François Pouqueville ; Voyage de la GrĂšce 1820-1822 Habituons les enfants Ă  faire le bien sans rĂ©flĂ©chir. C'est plus sĂ»r. Albert Guinon ; Le Figaro, le 29 mai 1909. Cesse de rĂ©flĂ©chir, ne pense qu'au but et compte pour rien les obstacles. RĂ©my de Gourmont ; Sixtine 1890 Le nombre de partis baptisĂ©s front » rappelle que, en dĂ©pit des divagations de ses leaders, la politique doit constituer un acte rĂ©flĂ©chi. Philippe Bouvard ; Mes derniĂšres pensĂ©es sont pour vous 2017 Un amour non rĂ©flĂ©chi est toujours passager si des conventions ne le cimentent. Properce ; Livre III, Ă©lĂ©gie 20 vers 23 av. La plupart des hommes et des femmes consacrent peu d'instants Ă  rĂ©flĂ©chir sur le passĂ©, par consĂ©quent il est rare que de salutaires douleurs les rendent plus sages. Samuel Johnson ; Le paresseux 1760 Les Ă©vĂ©nements sont des Ă©tapes qui nous obligent Ă  rĂ©flĂ©chir. Anne Barratin ; De toutes les paroisses 1913 Agir sans avoir rĂ©flĂ©chi, c'est partir en voyage sans avoir fait de prĂ©paratifs. Jean-Jacques de LingrĂ©e ; Les rĂ©flexions, pensĂ©es et maximes 1814 La pensĂ©e qui ne fait point rĂ©flĂ©chir ne vaut rien. Pierre-Jules Stahl ; Les pensĂ©es et rĂ©flexions diverses 1841 La paresse d'esprit fait qu'on aime Ă  trouver des opinions toutes faites qu'on adopte comme des vĂ©ritĂ©s. Le nombre de ceux qui rĂ©flĂ©chissent indĂ©pendamment de tous prĂ©jugĂ©s, est petit. Pierre-Jules Stahl ; Les pensĂ©es et rĂ©flexions diverses 1841 Celui qui rĂ©flĂ©chit aime mieux s'entretenir avec ses idĂ©es, quelles qu'elles soient, qu'avec la plupart de ceux qu'il rencontre. Pierre-Jules Stahl ; Les pensĂ©es et rĂ©flexions diverses 1841 Les sots commencent par agir, et les habiles par rĂ©flĂ©chir, avant que de faire quelque chose. Pierre-Jules Stahl ; Les pensĂ©es et rĂ©flexions diverses 1841 Les idĂ©es de celui qui rĂ©flĂ©chit, se rĂ©sument en pensĂ©es. Pierre-Jules Stahl ; Les pensĂ©es et rĂ©flexions diverses 1841 Celui qui rĂ©flĂ©chit a plus de plaisir Ă  s'entretenir avec ses idĂ©es qu'Ă  tenir conversation avec les sots Ă  la mode. Pierre-Jules Stahl ; Les pensĂ©es et rĂ©flexions diverses 1841 Si l'on rĂ©flĂ©chissait avant que d'agir, il y aurait beaucoup moins de sottises dans le monde, et les mĂ©chants manqueraient de texte pour exercer leur langue de vipĂšre. Pierre-Jules Stahl ; Les pensĂ©es et rĂ©flexions diverses 1841 Voir et rĂ©flĂ©chir sur ce qu'on a vu, voilĂ  le second pas de la connaissance. Confucius ; Le livre des sentences - VIe s. av. L'aptitude Ă  rĂ©flĂ©chir implique toujours l'aptitude Ă  l'attention. Gustave Le Bon ; Les opinions et les croyances 1911 Que de gens rĂ©flĂ©chissent toujours Ă  ce qu'ils auraient dĂ» faire, jamais Ă  ce qu'ils vont faire. EugĂšne Marbeau ; Les remarques et pensĂ©es 1901 Quelque chose que tu doives dire, rĂ©flĂ©chis-y auparavant. Bien des gens parlent avant de rĂ©flĂ©chir. Isocrate ; Les conseils Ă  DĂ©monicos - IVe s. av. Il faut rĂ©flĂ©chir aux choses importantes avant de les entreprendre. Johann Wolfgang von Goethe ; La fille naturelle 1804 On ne rĂ©flĂ©chit jamais trop aux choses importantes. Johann Wolfgang von Goethe ; La fille naturelle 1804

Cest ĂȘtre Ă©puisĂ©, tant Ă©motionnellement que physiquement. Ce sont des pensĂ©es qui ne s’arrĂȘtent jamais, ne ralentissent jamais. Trop rĂ©flĂ©chir et sur-analyser, c’est ce moment suspendu dans le temps entre deux messages. Ce moment plein de questionnements et de doutes. C’est Ă©crire et supprimer et envoyer Ă  nouveau, piĂ©gĂ©s
LNg5Vz. 115 313 438 217 461 339 445 396 236

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